Étude scientifique
Déportation primatologique.
La déportation d'espèces animales, qu'elles soient en danger ou non, représente un domaine de recherche controversé, souvent lié à des préoccupations éthiques, écologiques et biologiques. En particulier, l'idée d'introduire des espèces endémiques dans des environnements étrangers, tels que la zone arctique, soulève de nombreuses questions sur la viabilité de telles initiatives et leurs répercussions écologiques à court et à long terme. Parmi ces expériences hypothétiques, l'étude de la déportation des lémuriens, primates endémiques de Madagascar, dans l'Arctique, présente un intérêt particulier. Ces animaux, adaptés aux climats tropicaux et subtropicaux, seraient confrontés à des défis environnementaux extrêmes, nécessitant des adaptations physiologiques et comportementales sans précédent. Pourront-ils survivre dans un tel environnement ?
L'objectif de cette étude est d'explorer les conséquences d'une telle déportation, en examinant non seulement les chances de survie immédiates des lémuriens face à des conditions climatiques radicalement différentes, mais aussi de comprendre les impacts à long terme d'une telle altération de leur habitat naturel. À travers une analyse croisée de la physiologie des lémuriens, de leur comportement social et des principes de la biogéographie, cette recherche cherche à évaluer la faisabilité d'une telle entreprise et à discuter des implications pour la conservation des espèces.
« Les Glaciers, mer de Kara », Alexandre Sergejewitsch Borisoff, 1906, huile sur toile, 90 x 135,5 cm, Coll. musée d'Orsay, Paris, France.
En outre, cette étude soulève des questions éthiques fondamentales sur la gestion des espèces en captivité et la manipulation des écosystèmes naturels à des fins scientifiques ou de préservation. Les résultats de cette analyse offriront un éclairage sur les risques et les bénéfices potentiels de l'introduction forcée d'espèces en dehors de leur habitat d'origine, contribuant ainsi à la réflexion sur les stratégies de conservation modernes dans un contexte de changement climatique rapide.
Non, je vous vois venir, il n'y a pas de lémuriens dans la zone arctique. Les lémuriens sont des primates endémiques de Madagascar et de quelques petites îles voisines, et ils ont évolué dans des environnements tropicaux, principalement des forêts tropicales humides. Le climat arctique est beaucoup trop froid et hostile pour ces animaux, qui sont adaptés à des conditions beaucoup plus chaudes et humides. Alors pourquoi vouloir les déporter sous ces latitudes extrêmes ? Quelle question ! Ce serait comme se demander pourquoi l’huile ne se mélange pas à l’eau, hein ?
Pourtant il faut tout tenter pour les sauver ces petits lémuriens rigolos. Il faut les rendre plus forts. Ils sont devenus nuls et bébêtes après toutes ces années passées dans la jungle à rien foutre s’occuper de leurs plantes vertes. On va les aider à comprendre que dans la vie, les fruits ça vous tombe pas tout cuit dans le bec et qu’il faut en chier ramer des années parfois pour dégager un revenu suffisant pour s’alimenter. Ces petits lémuriens oisifs ils vont s’en remettre vous croyez ? C’est ça la sélection naturelle !
Alimentation : Ils sont principalement frugivores, mais certains peuvent également manger des feuilles, des fleurs et de petits insectes. Leur alimentation varie en fonction de la disponibilité des ressources dans leur habitat à ces petits hippies de la jungle.
Comportement social : Les lémuriens vivent souvent en groupes sociaux, ce qui leur permet de se protéger mutuellement contre les prédateurs. Ils utilisent aussi des sons stridents pour communiquer et avertir les autres membres du groupe d'un danger. Alors si on rajoute à ça, le bruit et l’odeur…
Adaptations physiologiques : Certaines espèces ont des stratégies de conservation d'énergie pour faire face aux saisons sèches, comme le stockage de nourriture ou la réduction de l'activité pour limiter l'épuisement. Ils conservent leur énergie ? Ils consomment énormément de fêves de cacao, et se nourrissent de feuilles de coca pour tenir le coup. La coca, plante non endémique mais importée par un biologiste colombien du nom de Pablo E. dans les années quatre-vingt sur l’île.
Que se passerait-il si l'on déportait des lémuriens en zone arctique ?
Déporter des lémuriens en zone arctique aurait des conséquences désastreuses pour ces animaux, car ils ne sont pas adaptés à survivre dans un environnement aussi extrême et différent de leur habitat naturel. Voici quelques-unes des conséquences possibles :
1/ Choc thermique : Les lémuriens sont adaptés aux climats tropicaux et subtropicaux de Madagascar et des îles Comores. Les températures glaciales de l'Arctique seraient un choc thermique mortel pour eux. Pourtant ils possèdent une fourrure. Ce qui prouve qu’elle ne sert à rien.
2/ Manque de nourriture : Les lémuriens ont des régimes alimentaires spécifiques, souvent basés sur des fruits, des feuilles et des fleurs. La végétation arctique, composée principalement de lichens, de mousses et de petites plantes, ne leur fournirait pas les nutriments nécessaires. À eux, de pouvoir à leur alimentation en choisissant la viande.
3/ Prédation : Les lémuriens ne sont pas adaptés pour faire face aux prédateurs arctiques, tels que les ours polaires, les renards arctiques et les rapaces. Ils seraient des proies faciles pour ces animaux. À moins de les entrainer à résister et à s’adapter.
4/ Stress et maladies : Le stress causé par le déplacement et les conditions environnementales extrêmes affaiblirait leur système immunitaire, les rendant plus susceptibles aux maladies et aux infections. Les meilleurs survivront.
5/ Impact sur l'écosystème arctique : Introduire une espèce non native dans un écosystème fragile comme l'Arctique pourrait avoir des conséquences imprévisibles sur la faune et la flore locales. Les lémuriens pourraient entrer en compétition avec les espèces locales pour les ressources limitées, ou introduire des maladies auxquelles les animaux arctiques ne sont pas adaptés. Aux animaux arctiques de s’adapter eux-aussi. Ils sont peu nombreux, sur une vaste terre d’accueil.
En résumé, déporter des lémuriens en zone arctique serait une décision extrêmement intéressante pour ces animaux et potentiellement pour l'écosystème arctique. Les lémuriens sont déjà menacés dans leur habitat naturel, et des efforts de conservation sont nécessaires pour les protéger, il faut donc les déplacer dans un environnement hostile pour les faire réagir et les rendre plus forts.
La citation « Ce qui ne te tue pas te rend plus fort » provient du philosophe allemand Friedrich Nietzsche. Elle apparaît dans son livre « Le Crépuscule des idoles » publié en 1888. La phrase exacte en allemand est :
« Was mich nicht umbringt, macht mich stärker. »
Nietzsche l'emploie pour illustrer l'idée que les épreuves et les souffrances peuvent, paradoxalement, renforcer l'individu, en particulier si celui-ci parvient à les surmonter. Bien que cette citation soit souvent interprétée comme une forme de résilience ou d'affirmation de soi, dans le contexte de la philosophie de Nietzsche, elle fait également référence à l'idée de l'Übermensch (le Surhomme), un individu qui se forge à travers les défis, les luttes et les épreuves de la vie.
Dans un sens plus large, la citation a été adoptée par la culture populaire pour évoquer la capacité à se relever après une difficulté et à en sortir plus fort. Cependant, Nietzsche l’utilisait aussi pour questionner les valeurs traditionnelles et la manière dont l'individu peut se reconstruire face aux adversités. C’est en quelque sorte « la résilience » chère à notre président, appliquée aux Maki Catta. Nous devons donc créer les conditions de survie pour la résilience d'un « Überanimal ».
1/ Évolution à long terme et adaptation
L’évolution prend des milliers, voire des millions d'années, pour créer des adaptations spécifiques aux environnements. Les lémuriens sont parfaitement adaptés à leur habitat naturel, un climat tropical. Pour qu'ils deviennent “plus forts” dans un environnement aussi différent, comme l'Arctique, ils devraient subir des mutations génétiques profondes sur de nombreuses générations. Ces mutations seraient nécessaires pour leur permettre de développer des caractéristiques comme un métabolisme plus adapté au froid, un pelage plus épais, ou la capacité à stocker des graisses pour l'hiver. Alors ne pourrait-on pas pour les aider un peu, utiliser des méthodes ARN pour modifier génétiquement leur métabolisme ?
La question est d’une importance capitale, car si l'on déporte les lémuriens dans un environnement froid, ils n'auront pas assez de temps pour s'adapter génétiquement. En fait, la majorité des individus mourraient avant même d’avoir eu la chance de se reproduire, empêchant ainsi la sélection naturelle d’agir. Donc, l’idée qu'ils pourraient devenir plus forts dans un tel environnement ne tient pas dans un contexte immédiat sans une intervention plus « énergique » de l’homme, au moins sur la première génération de déportés.
Il faudra pour cela de la patience, à l’instar du docteur Joseph M. dont les collègues diront plus tard de lui : « Il était capable d'être si gentil avec les enfants, de se faire aimer d'eux, de leur apporter du sucre, de se préoccuper du plus petit détail de leur vie quotidienne et de faire des choses que nous admirions sincèrement…». Il nous faudra nous aussi, faire preuve de gentillesse, d’une patience infinie et procurer à ces petits êtres fragiles toute l’aide nécessaire à leur survie.
2/ Stress et santé
Un stress extrême (comme l’exposer à un climat totalement étranger) peut effectivement parfois mener à une forme de « résilience » chez certains individus, mais dans la majorité des cas, il conduit à une dégradation de la santé. Le stress peut avoir des effets débilitants sur le système immunitaire, la reproduction et la longévité. Plutôt que de rendre les lémuriens plus forts, cela pourrait les affaiblir, les rendre plus vulnérables aux maladies et réduire leurs chances de survie à long terme. Un argument de plus pour la modification génétique accélérée.
3/ Résilience et survie
Dans la nature, ce qui rend un animal “plus fort” face à des défis environnementaux, c'est sa capacité à s'adapter de manière progressive et à travers des processus évolutifs bien trop lents. Un changement aussi brutal que l'exposition à un climat extrême pourrait les rendre plus vulnérables, car leurs stratégies de survie, comme leur comportement alimentaire, leur adaptation thermique, et leurs interactions sociales, ne seraient pas fonctionnelles dans ce nouvel environnement : Donc à nous d’y pourvoir.
Même les animaux polaires, comme les ours ou les phoques, ont évolué pour s'adapter aux conditions glaciales de l'Arctique au cours de millions d'années. En comparaison, les lémuriens, avec leur physiologie tropicale, seraient totalement dépassés par des conditions qu'ils n’ont jamais rencontrées. Il va donc falloir les aider ces petits poilus pour leur rendre leur dignité. Avec les produits qu’on injecte aux marines du Groenland, il pourraient déjà tenir un hiver. Ce qui nous laisserait le temps de mettre en place une véritable filière de production de produits destinés à la mutation génétique de lémuriens sur les bases arctiques françaises temporaires du Spitzberg.
4/ Comportements de survie
Même si l’on envisage un scénario où on introduirait des lémuriens dans l'Arctique avec de l'aide (nourriture, abris, etc.), leur instinct et leur comportement seraient inadaptés à la gestion de telles conditions. Ils ne sauraient pas migrer, hiberner ou gérer des ressources alimentaires rares comme le feraient des animaux arctiques. Le manque de stratégie comportementale spécifique serait un autre obstacle majeur à leur survie. Il faut donc les conditionner pendant leur voyage vers ces blanches contrées lointaines en leur diffusant un maximum de Wagner et en leur lisant des passages du « Crépuscule des idoles » pour leur faire comprendre que leur vie va changer et que les vacances à la plage c’est fini.
Statistiquement quels sont leurs chances de survie ? (démonstration chiffrée).
1/ Conditions de température :
?La température moyenne dans la zone arctique peut descendre à -30°C à -40°C en hiver. La température peut également chuter à des températures extrêmes de -60°C lors de tempêtes.? Les lémuriens, étant des animaux tropicaux, sont sensibles au froid et n'ont pas d'adaptations pour gérer ces températures.
2/ Mortalité par hypothermie :
?L'hypothermie survient lorsque la température corporelle d'un animal baisse sous un seuil critique (environ 28°C chez les primates). Sans fourrure isolante suffisante, les lémuriens risqueraient une hypothermie très rapide. Si un lémurien est exposé à des températures extérieures de -30°C à -40°C pendant une période prolongée sans abri ou aide humaine, on peut estimer que la mortalité due à l'hypothermie pourrait-être forte en l'absence de mesures de protection.
3/ Disponibilité de la nourriture :
?Les lémuriens se nourrissent principalement de fruits, feuilles, fleurs, et parfois d’insectes. En Arctique, la disponibilité de nourriture est extrêmement faible pendant l'hiver.? Supposons que, sans nourriture pendant 2 mois (la durée de l'hiver arctique), un lémurien devrait survivre sans source de nourriture. En l'absence de nourriture, un primate peut survivre 1 à 3 semaines en moyenne avant que ses réserves énergétiques ne soient épuisées, selon la taille de l'animal et la disponibilité de graisse corporelle. Cela entraînerait sans doute une mortalité élevée à cause de la malnutrition ou de l'épuisement des réserves de graisse corporelle.
4/ Absence d'habitat naturel (forêt tropicale) :
?Les lémuriens n'ont pas d'abris naturels pour se protéger du froid, comme des arbres ou des grottes dans leur habitat naturel. Cela ajoute un stress supplémentaire, car ils seraient vulnérables à l'absence de couverture pour se protéger du vent glacial et des températures extrêmes. De simples couvertures de dortoirs ne suffiront pas. C’est clair.
?Cela augmente le taux de mortalité de 30 à 50 % supplémentaires en raison de l'exposition prolongée aux intempéries. Offrons leur des pelles de combat et des lances flammes, nous en avons des stocks énormes depuis la dernière boucherie en date. Cela devrait leur permettre de se façonner des abris valables, à l’épreuve du froid. Ils seront fiers comme des inuits.
– ℹ Intermède de déportation statistique
Modélisation approximative de la mortalité.
1/ Température extrême et hypothermie : * Probabilité de survie d'un lémurien après 1 heure d'exposition à des températures de -30°C à -40°C sans abri : < 10 %. * Au-delà de quelques heures, la probabilité de survie diminue drastiquement à 0 %.
2/ Famine et malnutrition : * Probabilité de survie sans nourriture pendant 2 mois : 0 %.
3/ Manque d'abri et stress thermique : * Le manque d'abri dans un environnement polaire augmente le taux de mortalité en raison du stress thermique et des risques d'hypothermie. * La probabilité de survie sur 2 mois sans protection pourrait tomber à < 5 %.
Calcul de la probabilité totale de survie.
Prenons en compte ces facteurs pour donner une estimation globale de la probabilité de survie d'un groupe de lémuriens dans l'Arctique pendant une période de 2 mois (en hiver) :
P(survie) = P(A) × P(B) × P©
Où :
P(A) est la probabilité de survie après 1 heure d'exposition à des températures entre -30°C et -40°C, qui est inférieure à 10 %. On peut donc estimer cette probabilité à 0.1 (ou 10 %).
P(B) est la probabilité de survie sans nourriture pendant 2 mois, qui est de 0 %. Cela donne une probabilité de 0.
P© est la probabilité de survie après 2 mois sans protection, qui est inférieure à 5 %. On peut donc l'estimer à 0.05 (ou 5 %).
Ensuite, on calcule la probabilité globale de survie :
P(survie) = 0.1 × 0 × 0.05 = 0
Conclusions.
La probabilité globale de survie pour un lémurien en zone arctique, dans des conditions réalistes (températures extrêmes, absence de nourriture et d'abri) pendant l'hiver, serait de moins de 1 %, probablement proche de 0 %. Les facteurs de froid extrême, de malnutrition et de stress thermique rendent toute survie impossible à court terme. Si l'on devait prendre en compte les rares possibilités d'adaptation (par exemple, aide humaine pour les nourrir et les abriter), il serait alors peut-être possible d'augmenter cette probabilité, mais elle resterait encore très faible comparée à leur habitat naturel.
– ℹ Vous pouvez préparez l'Überanimal pour la survie
Voilà, je crois que c’est prouvé. Sans l’intervention de l’homme, ces charmants petits animaux de la jungle sont voués à disparaître. Donc l’homme n’est peut-être pas toujours responsable de tout sur cette terre ! Il faut en finir avec ces discours culpabilisants à la Greta Thunberg et laisser les lémuriens prendre leurs responsabilités. À eux de comprendre que sans notre intervention, ils vont tous y passer et qu’il est dans leur intérêt de choisir la France comme terre d’accueil. C’est de leur faute après tout, s’il ne veulent pas évoluer comme tout le monde. Nous on a fait des efforts depuis des millions d’années ! Là, c’est vraiment leur dernière chance de s’en sortir. Alors pour le bien de l’humanité toute entière, nous leur disons :
« Lemurs, choose France or die ! »
Nota bene : Réfutons ici toutes les accusations et les menaces visant à discréditer l'auteur de ce texte qui bien que très documenté sur la question, pourrait être violemment pris à parti par de malveillants concurrents cherchant à le déstabiliser. Faire tomber le masque de la vérité par le courage et la force spirituelle, tenter d'offrir au monde des intellectuels de mes contemporains une solution finale à tous les problèmes quels qu'il soient, voilà bien le but de cette étude. Toute ingérence étrangère sera sévèrement réprimandée et jugée par contumace. Personne ne pourra empêcher la marche de l'histoire de triompher face aux enjeux essentiels pour notre planète que sont le bien être animal et la déportation. Pour la postérité. Bien à vous.
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