Montagnes et précipices
Pour une épure de la concurrence.
Le talent et la compétence sont souvent perçus comme des montagnes inaccessibles, des sommets que seuls quelques élus peuvent atteindre. Mais sont-ils vraiment là par hasard, ces intellectuels, ces artistes, ces hommes politiques qui semblent flotter au-dessus de la mêlée ? Ou bien leur présence est-elle le fruit d'un long cheminement, d'une constance et d'une détermination à toute épreuve ?
Prenons les intellectuels, ces gardiens du savoir et de la pensée. Leur niveau réel est souvent bien au-delà de ce que l'on peut imaginer. Ils sont comme des étoiles dans le firmament de la connaissance, brillant de mille feux grâce à des années de lecture, de réflexion et de débat. Mais le niveau requis pour les rejoindre n'est pas toujours inaccessible. Il suffit parfois d'une étincelle, d'une curiosité insatiable et d'une volonté de fer pour gravir les échelons de la pensée.?
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?Pollice Verso (« Pouce vers le bas ») est un tableau du peintre français Jean-Léon Gérôme réalisé en 1872. Cette huile sur toile, dimensions 100,3 × 148,9 cm, de style académique, est conservée au Phoenix Art Museum, aux États-Unis.
Les artistes, quant à eux, sont des alchimistes de l'âme. Ils transforment des émotions brutes en œuvres d'art, que ce soit par la peinture, l'humour ou la comédie. Leur niveau de performance varie comme les saisons, mais leur constance est souvent la clé de leur succès. Ils sont comme des jardiniers patients, cultivant leur art avec amour et dévouement, même lorsque les fruits tardent à venir.
Et que dire des hommes politiques ? Ils naviguent dans des eaux tumultueuses, où chaque décision peut être un écueil ou une opportunité. Leur niveau réel est souvent masqué par des discours bien rodés et des stratégies savamment orchestrées. Mais derrière cette façade, il y a parfois des esprits vifs et des cœurs passionnés, prêts à tout pour servir leur pays.
Mais pourquoi ne pourrait-on pas être à leur place ? La réponse est simple : parce que nous avons souvent peur de l'inconnu, de l'échec, de ne pas être à la hauteur, ou bien encore parce qu'on préfère s'abstenir d'y penser. Pourtant, l'histoire est remplie d'exemples de personnes ordinaires qui ont accompli des choses extraordinaires. Pensez à Michel C., dont le QI était certes élevé, mais qui a surtout brillé par sa capacité à penser différemment, à voir au-delà des conventions. Les gens aimaient sans doute aussi son sérieux et son programme. Il a fini par se résoudre à présenter sa candidature. Pour leur foutre mettre au QI sans doute.
L'opinion et la critique, lorsqu'elles sont formulées par un spécialiste, ont une valeur inestimable. Elles sont comme des boussoles dans un monde en perpétuel changement, nous guidant vers des horizons nouveaux et inexplorés. Mais elles ne doivent pas être prises pour argent comptant. Chacun a le droit de forger sa propre opinion, de questionner, de douter.
Et puis, il y a ces personnes dont le QI n'a rien d'exceptionnel, mais qui possèdent une sagesse simple et concrète. Elles sont comme des arbres solides, enracinés dans la terre, résistant aux tempêtes de la vie. Leur jugeote n'est pas mesurable par des tests, mais elle est palpable dans leurs actions et leurs décisions. Rappelez-vous Madame Michu.
La constance, cette vertu souvent oubliée, est peut-être la clé pour rivaliser avec les grands de ce monde. Elle est comme un fleuve tranquille, creusant son lit avec patience et détermination. Elle nous rappelle que le succès n'est pas une destination, mais un voyage, fait de petits pas et de grandes victoires.
Alors, osons rêver, osons croire en nos capacités. Le talent et la compétence ne sont pas des montagnes inaccessibles, mais des sommets que nous pouvons tous atteindre, à condition de ne jamais cesser de gravir les marches de l'effort et de la persévérance.??Dans ce cas, l’importance du soutien apporté par les mentors et les inspirations ne peut être sous-estimée.
Ces figures tutélaires sont comme des phares dans la nuit, guidant nos pas lorsque le chemin devient incertain. Elles nous montrent que la route vers l'excellence n'est pas solitaire, mais jalonnée de rencontres et d'échanges enrichissants. Comme le disait Isaac Newton, “Si j'ai vu plus loin, c'est en me tenant sur les épaules de géants.” Chaque référence, chaque inspiration est un géant sur lequel nous pouvons nous appuyer pour voir plus loin, pour viser plus haut.
Mais même avec la constance et le soutien de nos Muses, il arrive que le succès nous échappe. Parfois, ce n'est pas une question de talent ou d'effort, mais simplement de timing. Être au bon endroit au bon moment est une alchimie délicate, un alignement des étoiles qui ne dépend pas toujours de nous. Dans ces moments-là, il faut faire preuve d'humilité, accepter que le chemin vers la réussite n'est pas linéaire, mais semé d'embûches et de détours. Parfois ce sont aussi de simples problèmes d’argent qui coupent court à nos ambitions : Plus on en a, plus on en veut.??
– « Des problèmes ? Tu veux des problèmes ? C’est ça ? »
??– « Non non, je dis ça comme ça là, je suis pas agressif du tout…»??
– « T’es pas agressif mais tu répliques quand même ? Tu devrais arrêter…parce que j’ai pas pris ma dose de prot’ ! »??
– « Oh l’autre hé ! J’t’ai rien fait hé ! haha ! Même pas une pichenette rien ! »
??– « Tu m’as rien fait en plus ? Mais c’est qu’il exagère ! Je vais t’apprendre moi, mon coco, à bien te comporter ! Tu vas moins faire le malin…»
??– « Le malin ? Oh hé ! Arrêtes ton char Ben Hur ! T’es dingue ou quoi ? »??
– « Ah je suis dingue hein ! »??
– « Ben oui ! Pour être dingue t’es complètement dingue ! T’es dur de partout mais pas vraiment du bulbe ! »
??– « PAF ! »??
– « Oh le con méchant ! Il m’a frappé en plus ! Ça fait mal, t’es maboul ou quoi ! »
??– « PIF PAF PIF PAF BOW ! »??
– « Ché for là ! Ch’en peux plus, quell’ violenche…»
??– « Voilà ! Ta gueule Tais-toi ! T’es nul Tu n'es pas à la hauteur, pis c’est tout. Ça t’apprendra l’humilité p'tite merde vermisseau. »
– ℹ Intermède non violent.
?Calculer le nombre exact de neurones perdus pendant une activité spécifique, comme la lecture d'un texte comme celui-ci, n'est pas scientifiquement possible ni pertinent. Voici pourquoi :
Complexité du cerveau : Le cerveau humain est extrêmement complexe, avec environ 86 milliards de neurones. Ces neurones sont constamment en activité, formant et renforçant des connexions synaptiques.
Plasticité cérébrale : Le cerveau a la capacité de se réorganiser et de créer de nouvelles connexions tout au long de la vie. La lecture, par exemple, peut en fait renforcer certaines connexions neuronales plutôt que de les détruire.
Absence de données spécifiques : Il n'existe pas de données scientifiques précises sur le nombre de neurones perdus pendant une activité spécifique comme la lecture. La perte de neurones est généralement associée à des processus pathologiques comme les maladies neurodégénératives, et non à des activités quotidiennes.
Variabilité individuelle : Même si une telle mesure était possible, elle varierait considérablement d'une personne à l'autre en fonction de nombreux facteurs, y compris l'âge, la santé générale, et les conditions environnementales.
En résumé, il n'est pas possible de calculer le nombre de neurones perdus pendant la lecture d'un texte comme celui-ci. La lecture est généralement considérée comme une activité bénéfique pour le cerveau, stimulant la cognition et la mémoire. Il faut avouer que ça nous arrange pas des masses là. À moins que votre cerveau ne soit comme du mou de veau. Bref…??
Par contre, on peut calculer la lisibilité du texte. Et oui. Je le savais pô. Le p'tit gamin amoureux de Nadia non plus.?
?Des calculs comme l'indice de Lisibilité de Flesch-Kincaid ou l'indice de Gunning Fog évaluent la difficulté d'un texte en fonction de :?
- La longueur des mots.
- Le nombre de syllabes.
- La longueur des phrases.?
Ces indices permettent de savoir si un texte est accessible à un large public ou destiné à un public spécialisé.
?Évidemment on peut installer une librairie python pour faire cette analyse simplement. Ouvrez votre terminal :??
pip install textstat??
puis exécutez ce code python :
import textstat
# The provided text
text = """
METTRE ICI VOTRE TEXTE.
"""
# Flesch-Kincaid - indice de lisibilité
flesch_kincaid = textstat.flesch_kincaid_grade(text)
# Gunning Fog - indice
gunning_fog = textstat.gunning_fog(text)
# Display results
print(f"Flesch-Kincaid Grade Level: {flesch_kincaid}")
print(f"Gunning Fog Index: {gunning_fog}")
Voici l’interprétation des résultats :?
- Niveau de lisibilité Flesch-Kincaid : 7.5
?Cela signifie que le texte est compréhensible pour une personne ayant complété environ 7,5 années d'éducation (soit au niveau de la 7e ou 8e année scolaire). Il est considéré comme relativement facile à lire pour la plupart des gens.?
- Indice de Gunning Fog : 10.3
?L'indice de Gunning Fog indique que le texte est adapté à une personne ayant environ 10 années d'éducation (niveau de seconde ou première au lycée). Le texte est donc un peu plus complexe que ce que suggère le score Flesch-Kincaid.?
En résumé, le texte est d'une difficulté modérée, adapté à un public plutôt adolescent ou adulte. Il est suffisamment accessible tout en étant un peu plus complexe grâce à certains choix de vocabulaire et de structures de phrases.
?– ℹ Vous pouvez reprendre une activité normale.
?
L'humilité est une vertu précieuse, souvent négligée dans notre quête de reconnaissance. Elle nous permet de reconnaître nos limites, d'apprendre de nos échecs et de nous relever plus forts. Comme le disait Socrate, “Je sais que je ne sais rien.” Cette prise de conscience est le premier pas vers la sagesse, vers une compréhension plus profonde de nous-mêmes et du monde qui nous entoure.
Ce que nous savons moins c’est que Socrate était fort respecté au sein du club de boxe dit « des Thermopyles ». Le nom “Thermopyles” qui signifie “portes chaudes” en grec, en référence aux sources chaudes présentes dans la région, étaient déjà connues dans l'Antiquité et sont encore utilisées aujourd'hui pour leurs propriétés thérapeutiques. Se soigner par la violence. D’où l’expression contemporaine : « C’était chaud » quand on parle d’une bonne baston dans la cité du coin. Même si ça a tendance à devenir de plus en plus le club de tir des Thermopyles avec tous ces anciens Yougoslaves…
Il est également crucial de comprendre que le succès ne se mesure pas uniquement par les applaudissements ou les récompenses. Parfois, il réside dans les petites victoires quotidiennes, dans les progrès silencieux que nous faisons chaque jour ou le nombres de couleuvres que nous sommes capables d’avaler. Comme le disait Winston Churchill, “Le succès, c'est aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme.” C'est cette persévérance, cette capacité à continuer malgré les obstacles, qui fait toute la différence. En gros si tu as tout raté, tu as tout réussi. Il avait flairé quelque chose là, le Winston. Et pas un vieux cigare.
Enfin, il est essentiel de se rappeler que le cœur des suiveurs est capricieux et changeant. Ce qui plaît aujourd'hui peut être oublié demain. Il faut donc rester fidèle à soi-même, à ses valeurs et à ses convictions, même lorsque le vent tourne. Comme le disait Shakespeare, “Être fidèle à soi-même, et ne pas se laisser influencer par les opinions des autres, voilà la véritable grandeur.” Il a aussi dit : « Il faut que j’aille chercher le pain plus tôt parce que il n'y a plus de baguettes fraiches si je me lève à 11h30 », mais finalement l’Histoire a retenu autre chose…Comme quoi.
Ainsi, la route vers la réussite est un voyage complexe, fait de rencontres, de défis et de leçons d'humilité. Mais avec le soutien ou pas des mentors (certains s'en foutent désintéressent vraiment, car vous ne servez qu’à justifier leur salaire), la constance dans l'effort et la capacité à accepter nos limites, nous pouvons tous aspirer à atteindre nos propres sommets, à notre rythme et à notre manière.
Ou bien encore choisir de contourner l’obstacle. Parce que c’est plus simple d'esquiver. Quel est le con personnage célèbre qui a dit que la beauté est dans l’effort déjà ? Je ne peux pas vous aider à identifier l'auteur de cette citation sans plus de contexte car ce n'est pas une citation célèbre largement reconnue… Pas d’indice ? Pierre de Coubertin ? Tant pis, on s’en fout l'effort est vain ! Tant qu’on a la médaille ! Tout est relatif.??
Dans ces moments de solitude, il est essentiel de se tourner vers soi-même. L'introspection devient alors un outil puissant pour explorer nos pensées, nos émotions et nos aspirations. Se poser des questions à soi-même permet de clarifier nos objectifs, de comprendre nos motivations profondes et de trouver des réponses qui résonnent avec notre être intérieur. Comme le disait René Descartes, “Je pense, donc je suis” ; l'acte de penser et de questionner est au cœur de notre existence et de notre identité de primate poilu qui pête et qui pue qui réfléchit. Le mental ! C’est le mental qu’il faut travailler pour muscler son jeu ! Hein les gros musclés ? Ils le savent bien eux, qui n’arrivent pas à rentrer par la portière de leur voiture sans déformer la caisse. Métaphore de la boîte crânienne de l’homo sapiens ? Mens sana in voiturette sano…?
L'introspection est un voyage intérieur qui demande du courage et de l'honnêteté. Elle nous confronte à nos peurs (Le balèze Musclor), à nos doutes (Einstein) et à nos désirs (Madeleine de Proust) les plus profonds. Mais c'est aussi une source de découverte et de connaissance. En nous posant des questions, nous apprenons à mieux nous connaître, à accepter nos imperfections et à célébrer nos forces. Nous devenons plus authentiques, plus alignés avec nos valeurs et nos aspirations.
« La vache ! C’est super chouette ce que je dis là. » Moi, dans un moment navrant de béatitude et d'autosatisfaction.
Est-ce que ça va plaire ? Si ça plait à nos proches, tant mieux, pas question de les embêter avec ça. Si vous n’avez pas de proches, pas de questions à se poser non plus, ça plaira bien à quelqu’un quand même. Et si vraiment l'introspection vous chatouille le cortex, osons un « Si ça me plaît, c’est déjà ça, ce que vous en pensez je m'emballe les couilles avec une pelle à tarte m'en contrefiche ! »
Nota bene : Le mou de veau, le steak saignant, le tartare, l'escalope, le jambon…S'emballer les couilles parties ? Faute de Français ou créativité Gauloise inspirée du gigot ? Tout ça c'est de la viande. L'homme étant omnivore, on réfléchit parfois à notre condition. Oui, dans la vie, on tue. Métaphoriquement : Le père, les mentors, les suiveurs, ses concurrents…En vrai : On tue dans pas mal de parties du globe en ce moment. Alors, l'introspection, hein ? Ça vous tente toujours pas ? […] Hummmmm…Non. La viande c'est sacré. Je partage pas. On touche pas, on bave pas, on zieute même pas ! Sinon JE MORDS ! Ok ? On fera bien un concert pour l'Éthiopie de toute façon…Y'a quoi comme menu au catering ?
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